Catégories : Champagne doré pipi culotte uro Golden shower
il y a 2 ans
Dès le premier jour de son stage de BTS, au magasin de disques, Clélia s’était demandé comment il réagirait son patron, un bel homme d’une cinquantaine d’années, s’il lui arrivait de se faire malencontreusement pipi dessus devant lui. Est-ce qu’il serait furieux ? Est-ce qu’il se moquerait d’elle ? Est-ce qu’il ferait semblant de ne s’apercevoir de rien ? Autre chose ? Difficile de savoir. Elle le regardait, du coin de l’œil, tandis qu’elle déballait les colis ou installait la marchandise en rayons. Oui, difficile de savoir. Elle essayait d’imaginer sa tête. Il n’en reviendrait pas, ça, c’était couru. Et elle, comment elle aurait honte !
Ça a fini par arriver. Un mardi du mois d’octobre. En tout début de matinée. À cause de la pochette d’un CD qu’ils venaient de recevoir. De la tête qu’ils faisaient dessus, les chanteurs. Elle en a attrapé le fou rire. Et elle, quand elle attrapait un fou rire… Elle a senti que ça venait. Qu’elle pourrait bien faire tout ce qu’elle voudrait, elle pourrait pas empêcher que ça vienne. Et ça lui a coulé le long des cuisses à l’intérieur du jean. Ça a dégouliné. Ça l’a inondée. Chaud. Et puis très vite froid.
- Pardon ! Je suis désolée.
Rouge de confusion.
Il a levé sur elle un regard interrogateur.
-
Et de quoi donc ?
-
Ben…
C’est alors qu’il a vu.
Il est resté impassible.
- Allez vous nettoyer…
Derrière le magasin, il y avait à droite la réserve juste à côté des toilettes et, à gauche, une cuisine où il prenait ses repas, le midi, pour n’avoir pas à rentrer chez lui. C’est là, dans cette cuisine, qu’elle est allée se déshabiller. Qu’elle s’est efforcée, tant bien que mal, de laver son jean et sa culotte. Au savon. Qu’elle les a rincés. Mis à sécher sur le radiateur. Et maintenant ? Elle n’allait tout de même pas retourner au magasin comme ça ! L’idée l’a fait sourire. Oui, ben c’était pas drôle. Pas drôle du tout. Elle était dans de beaux draps en fait. Et qu’est-ce qu’il allait penser d’elle maintenant ? Il y a eu son pas dans le couloir. Il a passé la tête. Elle a instinctivement tiré sur son haut qui s’est avéré beaucoup trop court pour parvenir à cacher quoi que ce soit.
- Alors ? Vous vous en sortez ?
Elle a encore répété.
-
Je suis désolée.
-
Oui, ben ce qui est fait est fait. Bon, mais vous n’allez pas passer la matinée là ! Il y a la réserve à ranger. Ce sera l’occasion. Elle en a besoin.
Elle y a passé le reste de la matinée. Et aussi l’après-midi. À classer. À épousseter. À remettre en ordre. Lui, il faisait de temps à autre une apparition. Sous un prétexte ou sous un autre. La commande de Madame Galibert. C’était elle qui s’en était occupée. Elle était arrivée ? Et le représentant d’Harmonia Mundi, il devait passer quand ? Elle se rappelait ? Chaque fois, il levait la tête vers elle, juchée là-haut sur son escabeau, et restait un peu plus longtemps qu’il n’aurait été nécessaire. Elle haussait intérieurement les épaules. C’était un homme : il en profitait. De toute façon, s’il lui fallait en vouloir à quelqu’un, c’était d’abord et avant tout à elle-même. Elle s’était pissé dessus. Devant lui. La honte la submergeait. Une honte qui avait malgré tout en arrière-fond, à son grand étonnement, quelque chose de bizarrement voluptueux.
Le lendemain matin, elle est arrivée au magasin avec un grand sac de voyage. Il a froncé les sourcils.
- Qu’est-ce que vous baladez là-dedans ?
Elle s’est troublée. A baissé la tête.
- Des affaires de rechange.
- Ah, parce que vous avez l’intention de recommencer ?
Elle a bredouillé.
- Mais non, mais c’est parce que… on sait jamais. C’est au cas où.
- Ça vous arrive souvent, ce genre de choses ?
- Oh, non ! Pas tellement. Pas souvent. Presque pas.
- Mais ça vous arrive ! Vous imaginez si ça se produit pendant que vous servez un client ?
Elle lui a jeté un regard épouvanté.
- Ça n’arrivera pas.
- Ça, vous n’en savez rien du tout !
Et c’est à f o r c e de redouter que ça arrive que ça a fini par arriver. Un matin. Il y en avait des clients, oui, mais elle n’était pas en train de s’occuper d’eux. Elle s’est éclipsée, le plus vite possible. Ils n’avaient rien vu. Ils ne s’étaient rendu compte de rien. Mais lui, si ! Ne serait-ce que parce que, lorsqu’elle est revenue, elle avait changé de tenue.
- Ça vous a reprise…
À quoi bon nier l’évidence ?
- J’y peux rien. C’est pas de ma faute.
Il a haussé les épaules.
- Vous faites quelque chose, au moins, pour remédier à ça ?
Elle avait fait, oui. Elle avait vu des médecins. Tout un tas au début. Ils lui avaient donné des monceaux de médicaments. Qui n’avaient servi à rien. Le psy non plus. Au contraire, même. Ça avait été encore pire.
- Et maintenant ? Vous faites quoi maintenant ?
- Ben…
- Rien. Vous avez baissé les bras. Vous croyez vraiment que c’est la solution ? Parce que j’imagine que ça doit vous pourrir la vie, ce truc, non ?
- Un peu.
- Beaucoup, oui, vous voulez dire. Parce que vous renoncez à tout un tas de sorties à cause de ça, je suis sûr. Vous vous privez de quantités de plaisirs. Dans la hantise que ça vous arrive. Et les petits copains ? Vous en avez un au moins ? Non, vous n’en avez pas. Et pour cause ! Bon, mais moi ce que j’en dis, hein ! Après tout, si ça vous convient comme ça !
Elle a éclaté en sanglots. Non, ça lui convenait pas. Bien sûr que non que ça lui convenait pas. Mais quoi faire ? Elle avait tout essayé. Tout.
- Oh, mais faut pas vous mettre dans des états pareils !
Il s’est approché. Il lui a passé un bras autour des épaules et elle s’est laissée aller contre lui. Contre sa poitrine. Il lui a caressé la joue.
- Là ! Là ! C’est tout. On essuie ces vilaines larmes. On va trouver une solution, vous verrez !
Elle ne demandait pas mieux, elle, seulement…
- Mais si ! Trop souvent on va chercher midi à quatorze heures. Ce qu’il faut, c’est que vous appreniez à vous contrôler. Tout simplement.
- Comment ça ?
- En vous entraînant. Avec des exercices. Je vous montrerai.
Et, le soir, il a voulu qu’elle reste après la fermeture. Il l’a emmenée dans la cuisine. Parce que c’était du carrelage par terre. Lui a fait boire un grand verre d’eau. Un deuxième.
- Là ! Et vous faites tout ce que vous pouvez pour vous retenir. Absolument tout. Jusqu’à ce que je vous autorise à vous soulager. Ce qu’il faudrait par contre, c’est que vous vous déshabilliez. Le bas. Parce que si vous vous échappez…
Ah, oui. Oui. Évidemment ! Ça allait de soi. Il l’avait déjà vue toute nue de toute façon. Alors… Et elle a retiré son pantalon. Son string. Les a soigneusement déposés sur le dossier d’une chaise. Il lui a encore fait boire un verre.
‒ Ça va ?
Elle commençait bien à avoir pas mal envie, mais, pour le moment, ça allait, oui. Elle tenait bon. C’est avec le verre suivant que les choses ont commencé à se gâter sérieusement.
- Je crois que…
- Tenez bon ! Tenez bon ! Il y en a plus pour longtemps.
- Oui, mais…
Elle s’est dandinée. A dansé d’un pied sur l’autre.
- Je vais pas y arriver…
- Mais si ! Juste une minute. Une toute petite minute. Et je vous libère…
Une minute qui lui a paru une éternité.
- Allez-y ! Lâchez-vous !
Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois. Elle a écarté les jambes et elle s’est soulagée. Avec un petit grognement de satisfaction. Un jet puissant. Qui a claqué sur le carrelage. Qui lui a rebondi en fines gouttelettes sur les chevilles. Ça faisait du bien ! Non, mais comment ça faisait du bien ! Il l’a félicitée.
- Ah, ben, vous voyez que vous pouvez quand vous voulez !
Et il l’a renvoyée chez elle.
- Partez vite ! Je nettoierai. Je m’en occupe.
Quand elle est arrivée, le lendemain matin, il ne lui a parlé de rien. Exactement comme s’il n’y avait rien eu. Et elle a passé la journée à espérer que, le soir, après la fermeture, il prendrait encore soin d’elle, il voudrait encore l’aider. Ça avait quelque chose d’apaisant, de rassurant. Elle ne se sentait plus seule. À l’espérer et à le redouter, malgré tout, en arrière-fond. Parce que… quel spectacle ça l’obligeait à lui offrir ! Mais bon, c’était pour son bien.
Le soir, il a fait mine de la laisser partir. L’a rappelée au tout dernier moment.
- Vous n’oubliez pas quelque chose ?
Elle a intérieurement poussé un grand soupir de soulagement.
- Si ! Oui.
Et ils ont à nouveau été dans la cuisine. Où elle s’est déshabillée. Où elle a bu. De l’eau. Encore de l’eau. Où elle a fallu qu’elle s’aide, de ses deux mains pressées sur son bas-ventre, pour se retenir jusqu’à ce qu’il lui donne le feu vert. Qu’il l’autorise à se lâcher.
- Non, mais regardez-moi ça ! Comment elle pisse bien, la petite Clelia ! Un vrai bonheur. Et il y en a ! Il y en a ! Non, mais comment il y en a !
Il est venu couper le jet avec sa main. Il l’a laissée dessous deux ou trois secondes. Et puis il l’a portée à sa bouche. Il s’est léché les doigts. Un à un.
- Elle a bon goût en plus ! Très bon goût.
Elle l’a regardé faire, médusée.
-
Je te choque ?
-
Oh, non !
Si, en fait ! Non. Si. Peut-être. Elle savait pas. C’est surtout qu’elle ne s’y attendait pas. Que jamais elle ne serait allée imaginer…
Elle y a repensé, le soir, chez elle, dans son lit. Choquée ? Non. Bien sûr que non. D’autant que… elle se le faisait, elle aussi, quelquefois. Pas très souvent, mais elle se le faisait. Elle se pissait sur les doigts. Et elle se les léchait. Elle aimait bien. Alors pourquoi pas lui ? C’était flatteur, même, dans un sens.
Le lendemain, elle a su qu’il allait le faire. Avant même qu’il l’ait fait. Elle en était sûre. Certaine. Il s’est agenouillé. Il a tendu son visage vers elle. Il a posé ses deux mains à l’arrière de ses cuisses.
- Vas-y ! Lâche !
Et il l’a bue. Tant qu’il a pu. Il a avalé. Le surplus lui coulait des deux côtés de la bouche. Lui ruisselait dans le cou. Et jusque sur la poitrine. Il l’a bue. Jusqu’à la fin.
- Tu veux ? Que je te nettoie. Tu veux ?
Elle a fait signe que oui. Oui. Et elle a attiré sa tête vers elle.
Et elle y a eu sa langue. Consciencieuse. Appliquée. Qui n’a pas laissé un seul recoin inexploré. Qui s’est faite savante. Elle s’est agrippée à ses cheveux et elle a proclamé sa jouissance. À longues trilles éperdues.
Une histoire originale super bien écrite. Merci |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)